DIALOGUES ET ENTRETIENS PHILOSOPHIQUES - L' A, B, C - Partie 4

Publié le par loveVoltaire

DIALOGUES ET ENTRETIENS PHILOSOPHIQUES - L' A, B, C - Partie 4

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L’A, B, C,

ou

DIALOGUES ENTRE A, B, C.

 

 

 

- Partie 4 -

 

 

 

 

__________

 

 

 

 

TROISIÈME ENTRETIEN.

 

 

SI L’HOMME EST NÉ MÉCHANT ET ENFANT DU DIABLE.

 

 

 

          B – Vous êtes Anglais, monsieur A., vous nous direz bien franchement votre opinion sur le juste et l’injuste, sur le gouvernement, sur la religion, la guerre, la paix, les lois, etc.

 

 

          A – De tout mon cœur ; ce que je trouve de plus juste, c’est liberté et propriété. Je suis fort aise de contribuer à donner à mon roi un million sterling par an pour sa maison, pourvu que je jouisse de mon bien dans la mienne. Je veux que chacun ait sa prérogative ; je ne connais de lois que celles qui me protègent, et je trouve notre gouvernement le meilleur de la terre, parce que chacun y sait ce qu’il a, ce qu’il doit, et ce qu’il peut. Tout est soumis à la loi, à commencer par la royauté et par la religion.

 

 

          C – Vous n’admettez donc pas le droit divin dans la société ?

 

 

          A – Tout est de droit divin si vous voulez, parce que Dieu a fait les hommes, et qu’il n’arrive rien sans sa volonté divine, et sans l’enchaînement des lois éternelles, éternellement exécutées ; l’archevêque de Cantorbéry, par exemple, n’est pas plus archevêque de droit divin que je ne suis né membre du parlement. Quand il plaira à Dieu de descendre sur la terre pour donner un bénéfice de douze mille guinées de revenu à un prêtre, je dirai alors que son bénéfice est de droit divin ; mais jusque-là je croirai son droit très humain.

 

 

          B – Ainsi tout est convention chez les hommes ; c’est Hobbes tout pur.

 

 

          A – Hobbes n’a été en cela que l’écho de tous les gens sensés. Tout est convention ou force.

 

 

          C – Il n’y a donc point de loi naturelle ?

 

 

          A – Il y en a une sans doute, c’est l’intérêt et la raison.

 

 

          B – L’homme est donc né en effet dans un état de guerre, puisque notre intérêt combat presque toujours l’intérêt de nos voisins, et que nous faisons servir notre raison à soutenir cet intérêt qui nous anime.

 

 

         A – Si l’état naturel de l’homme était la guerre, tous les hommes s’égorgeraient : il y a longtemps que nous ne serions plus (Dieu merci). Il nous serait arrivé ce qui arriva aux hommes nés des dents du serpent de Cadmus ; ils se battirent, et il n’en resta pas un. L’homme, étant né pour tuer son voisin et pour en être tué, accomplirait nécessairement sa destinée, comme les vautours accomplissent la leur en mangeant mes pigeons, et les fouines en suçant le sang de mes poules. On a vu des peuples qui n’ont jamais fait la guerre  on le dit des brachmanes, on le dit de plusieurs peuplades des îles de l’Amérique, que les chrétiens exterminèrent ne pouvant les convertir. Les primitifs, que nous nommons quakers (1), commencent à composer dans la Pensylvanie une nation considérable, et ils ont toute guerre en horreur. Les Lapons, les Samoïèdes n’ont jamais tué personne en front de bandière. La guerre n’est donc pas l’essence du genre humain.

 

 

          B – Il faut pourtant que l’envie de nuire, le plaisir d’exterminer son prochain pour un léger intérêt, la plus horrible méchanceté et la plus noire perfidie, soient le caractère distinctif de notre espèce, au moins depuis le péché original ; car les doux théologiens assurent que dès ce moment-là le diable s’empara de toute notre race. Or le diable est notre maître, comme vous savez, et un très méchant maître ; donc tous les hommes lui ressemblent.

 

 

          A – Que le diable soit dans le corps des théologiens, je vous le passe, mais assurément il n’est pas dans le mien. Si l’espèce humaine était sous le gouvernement immédiat du diable, comme on le dit, il est clair que tous les maris assommeraient leurs femmes, que les fils tueraient leurs pères, que les mères mangeraient leurs enfants, et que la première chose que ferait un enfant, dès qu’il aurait des dents, serait de mordre sa mère, en cas que sa mère ne l’eût pas encore mis à la broche. Or, comme rien de tout cela n’arrive, il est démontré qu’on se moque de nous quand on nous dit que nous sommes sous la puissance du diable ; c’est le plus sot blasphème qu’on ait jamais prononcé.

 

 

          C – En y faisant attention, j’avoue que le genre humain n’est pas tout à fait si méchant que certaines gens le crient dans l’espérance de le gouverner. Ils ressemblent à ces chirurgiens qui supposent que toutes les dames de la cour sont attaquées de cette maladie honteuse qui produit beaucoup d’argent à ceux qui la traitent. Il y a des maladies, sans doute ; mais tout l’univers n’est pas entre les mains de la faculté. Il y a de grands crimes ; mais ils sont rares. Aucun pape, depuis plus de deux cents ans, n’a ressemblé au pape Alexandre VI ; aucun roi de l’Europe n’a bien imité le Christiern II de Danemark et le Louis XI de France. On n’a vu qu’un seul archevêque de Paris (2) aller au parlement avec un poignard dans sa poche. La Saint Barthélemy est bien horrible, quoi qu’en dise l’abbé de Caveyrac (3) ; mais enfin, quand on voit tout Paris occupé de la musique de Rameau, ou de Zaïre, ou de l’Opéra-Comique, ou des tableaux exposés au Salon, ou de Ramponeau, ou du singe de Nicolet, on oublie que la moitié de la nation égorgea l’autre pour des arguments théologiques, il y aura bientôt deux cents ans tout juste. Les supplices abominables des Jeanne Gray, des Marie Stuart, des Charles Ier, ne se renouvellent pas chez vous tous les jours.

 

          Ces horreurs épidémiques sont comme ces grandes pestes qui ravagent quelquefois la terre ; après quoi on laboure, on sème, on recueille, on boit, on danse, on fait l’amour sur les cendres des morts qu’on foule aux pieds ; et comme l’a dit un homme (4) qui a passé sa vie à sentir, à raisonner, et à plaisanter, « si tout n’est pas bien, tout est passable. »

 

          Il y a telle province, comme la Touraine par exemple, où l’on n’a pas commis un grand crime depuis cent cinquante années. Venise a vu plus de quatre siècles s’écouler sans la moindre sédition dans son enceinte, sans une seule assemblée tumultueuse : il y a mille villages en Europe où il ne s’est pas commis un meurtre depuis que la mode de s’égorger pour la religion est un peu passée : les agriculteurs n’ont pas le temps de se dérober à leurs travaux ; leurs femmes et leurs filles les aident, elles cousent, elles filent, elles pétrissent, elles enfournent (non pas comme l’archevêque La Casa)° (5) ; toutes ces bonnes gens sont trop occupés pour songer à mal. Après un travail agréable pour eux, parce qu’il leur est nécessaire, ils font un léger repas que l’appétit assaisonne, et cèdent au besoin de dormir pour recommencer le lendemain. Je ne crains pour eux que les jours de fête si ridiculement consacrés à psalmodier, d’une voix rauque et discordante, du latin qu’ils n’entendent point, et à perdre leur raison dans un cabaret, ce qu’ils n’entendent que trop. Encore une fois, si tout n’est pas bien, tout est passable.

 

 

         B – Par quelle rage a-t-on donc pu imaginer qu’il existe un lutin doué d’une gueule béante, de quatre griffes de lion et d’une queue de serpent ; qu’il est accompagné d’un milliard de farfadets bâtis comme lui, tous descendus du ciel, tous enfermés dans une fournaise souterraine ; que Jésus-Christ descendit dans cette fournaise pour enchaîner tous ces animaux ; que depuis ce temps-là ils sortent tous les jours de leur cachot, qu’ils nous tentent, qu’ils entrent dans notre corps et dans notre âme ; qu’ils sont nos souverains absolus, et qu’ils nous inspirent toute leur perversité diabolique ? de quelle source a pu venir une opinion aussi extravagante, un conte aussi absurde ?

 

 

          A – De l’ignorance des médecins.

 

 

          B – Je ne m’y attendais pas.

 

 

          A – Vous deviez pourtant vous y attendre. Vous savez assez qu’avant Hippocrate, et même depuis lui, les médecins n’entendaient rien aux maladies. D’où venait l’épilepsie, le haut-mal, par exemple ? Des dieux malfaisants, des mauvais génies ; aussi l’appelait-on le mal sacré. Les écrouelles étaient dans le même cas. Ces maux étaient l’effet d’un miracle ; il fallait un miracle pour en guérir ; on faisait des pèlerinages ; on se faisait toucher par les prêtres : cette superstition a fait le tour du monde ; elle est encore en vogue parmi la canaille. Dans un voyage à Paris je vis des épileptiques, dans la Sainte-Chapelle et à Saint-Maur, pousser des hurlements et faire des contorsions la nuit du jeudi saint au vendredi ; et notre ex-roi Jacques II, comme personne sacrée, s’imaginait guérir les écrouelles envoyées par le malin (6). Toute maladie inconnue était donc autrefois une possession du mauvais génie. Le mélancolique Oreste passa pour être possédé de Mégère, et on l’envoya voler une statue pour obtenir sa guérison. Les Grecs, qui étaient un peuple très nouveau, tenaient cette superstition des Egyptiens : les prêtres et les prêtresses d’Isis allaient par le monde disant la bonne aventure (7) et délivraient pour de l’argent les sots qui étaient sous l’empire de Typhon. Ils faisaient leurs exorcismes avec des tambours de basque et des castagnettes. Le misérable peuple juif, nouvellement établi dans ses rochers entre la Phénicie, l’Egypte et la Syrie, prit toutes les superstitions de ses voisins, et, dans l’excès de sa brutale ignorance, il y ajouta des superstitions nouvelles. Lorsque cette petite horde fut esclave à Babylone, elle y apprit les noms du diable, de Satan, Asmodée, Mammon, Belzébuth, tous serviteurs du mauvais principe Arimane ; et ce fut alors que les Juifs attribuèrent aux diables les maladies et les morts subites. Leurs livres saints, qu’ils composèrent depuis, quand ils eurent l’alphabet chaldéen, parlent quelquefois des diables.

 

          Vous voyez que, quand l’ange Raphaël descend exprès de l’empyrée pour faire payer une somme d’argent par le Juif Gabel au Juif Tobie, il mène le petit Tobie chez Raguel, dont la fille avait déjà épousé sept maris à qui le diable Asmodée avait tordu le cou (8). La doctrine du diable prit une grande faveur chez les Juifs ; ils admirent une quantité prodigieuse de diables dans un enfer dont les lois du Pentateuque n’avaient jamais dit un seul mot : presque tous leurs malades furent possédés du diable. Ils eurent, au lieu de médecins, des exorcistes en titre d’office qui chassaient les esprits malins avec la racine nommée Barath, des prières et des contorsions.

 

          Les méchants passèrent pour possédés encore plus que les malades. Les débauchés, les pervers sont toujours appelés enfants de Bélial dans les écrits juifs.

 

          Les chrétiens, qui ne furent pendant cent ans que ces demi-juifs, adoptèrent les possessions du démon, et se vantèrent de chasser le diable. Ce fou de Tertullien pousse la manie jusqu’à dire que tout chrétien contraint, avec le signe de la croix, Junon, Minerve, Cérès, Diane, à confesser qu’elles sont des diablesses. La légende rapporte qu’un âne chassait les diables de Senlis en traçant une croix sur le sable avec son sabot par le commandement de saint Rieule.

 

          Peu à peu l’opinion s’établit que tous les hommes naissent endiablés et damnés : étrange idée, sans doute, idée exécrable, outrage affreux à la Divinité, d’imaginer qu’elle forme continuellement des êtres sensibles et raisonnables uniquement pour être tourmentés à jamais par d’autres êtres éternellement plongés eux-mêmes dans les supplices. Si le bourreau qui, en un jour, arracha le cœur dans Carlisle à dix-huit partisans du prince Charles-Edouard (9), avait été chargé d’établir un dogme, voilà celui qu’il aurait choisi ; encore aurait-il fallu qu’il eût été ivre de brandevin ; car eût-il eu à la fois l’âme d’un bourreau et d’un théologien, il n’aurait jamais pu inventer de sang-froid un système où tant de milliers d’enfants à la mamelle sont livrés à des bourreaux éternels.

 

 

          B – J’ai peur que le diable ne vous reproche d’être un mauvais fils qui renie son père. Vos discours bretons (10) paraîtront aux bons catholiques romains une preuve que le diable vous possède, et que vous ne voulez pas en convenir ; mais je serais curieux de savoir comment cette idée, qu’un être infiniment on fait tous les jours des millions d’hommes pour les damner, a pu entrer dans les cervelles.

 

 

          A – Par une équivoque, comme la puissance papistique est fondée sur un jeu de mot : Tu es Pierre et sur cette pierre j’établirai mon Eglise. » (Matth., ch. XVI, v. 18.)

 

          Voici l’équivoque qui damne tous les petits enfants. Dieu défend à Eve et à son mari de manger le fruit de l’arbre de la science qu’il avait planté dans son jardin ; il leur dit (Genèse, ch. II, v. 17) : « Le jour que vous en mangerez, vous mourrez de mort. » Ils en mangèrent, et n’en moururent point. Au contraire, Adam vécut encore neuf cent trente ans. Il faut donc entendre une autre mort ; c’est la mort de l’âme, la damnation. Mais il n’est point dit qu’Adam soit damné ; ce sont donc ses enfants qui le seront ; et comment cela ? c’est que Dieu condamne le serpent, qui avait séduit Eve, à marcher sur le ventre (car auparavant vous voyez bien qu’il marchait sur ses pieds) ; et la race d’Adam est condamnée à être mordue au talon par le serpent. Or le serpent, c’est visiblement le diable ; et le talon qu’il mord, c’est notre âme. « L’homme écrasera la tête des serpents tant qu’il pourra. » (Genèse, chap. III, v. 15) ; il est clair qu’il faut entendre par là le Messie, qui a triomphé du diable.

 

          Mais comment a-t-il écrasé la tête du vieux serpent, en lui livrant tous les enfants qui ne sont pas baptisés ? C’est là le mystère. Et comment les enfants sont-ils damnés, parce que leur premier père et leur première mère avaient mangé du fruit de leur jardin ? C’est encore là le mystère.

 

 

          C – Je vous arrête là. N’est-ce pas pour Caïen que nous sommes damnés, et non pas pour Adam ? car nous avons la mine de descendre de Caïen, si je ne me trompe, attendu qu’Abel mourut sans être marié ; et il me paraît qu’il est plus raisonnable d’être damné pour un fratricide que pour une pomme.

 

 

          A – Ce ne peut être pour Caïn ; car il est dit que Dieu le protégea, et lui mit un signe, de peur qu’on ne le battît ou qu’on ne le tuât ; il est dit même qu’il fonda une ville dans le temps qu’il était encore presque seul sur la terre avec son père et sa mère, sa sœur, dont il fit sa femme, et avec un fils nommé Enoche. J’ai vu même un des plus ennuyeux livres, intitulé la Science du gouvernement (11), par un sénéchal de Forcalquier, nommé Réal, qui fait dériver les lois de la ville bâtie par notre père Caïn.

 

          Mais, quoiqu’il en soit, il est indubitable que les Juifs n’avaient jamais entendu parler du péché original, ni de la damnation éternelle des petits enfants morts sans être circoncis. Les saducéens, qui ne croyaient pas l’immortalité de l’âme, et les pharisiens, qui croyaient la métempsycose, ne pouvaient pas admettre la damnation éternelle, quelque pente qu’aient les fanatiques à croire les contradictoires.

 

          Jésus fut circoncis à huit jours, et baptisé étant adulte, selon la coutume de plusieurs Juifs, qui regardaient le baptême comme une purification des souillures de l’âme ; c’était un ancien usage des peuples de l’Indus et du Gange, à qui les brachmanes avaient fait accroire que l’eau lave les péchés comme les vêtements. Jésus, en un mot, circoncis et baptisé, ne parle dans aucun Evangile du péché original. Aucun apôtre ne dit que les petits enfants non baptisés seront brûlés à tout jamais pour la pomme d’Adam. Aucun des premiers pères de l’Eglise n’avança cette cruelle chimère ; et vous savez d’ailleurs qu’Adam, Eve, Abel et Caïn n’ont jamais été connus que du petit peuple juif.

 

 

          B – Qui a donc dit cela nettement le premier ?

 

 

          A – C’est l’Africain Augustin, homme d’ailleurs respectable, mais qui tord quelques passages de saint Paul pour en inférer, dans ses lettres à Evode et à Jérôme, que Dieu précipite du sein de leurs mères dans les enfers les enfants qui périssent dans leurs premiers jours. Lisez surtout le second livre de la revue de ses ouvrages, chap. XLV. « La foi catholique enseigne que tous les hommes naissent si coupables, que les enfants mêmes sont certainement damnés quand ils meurent sans avoir été régénérés en Jésus. »

 

          Il est vrai que la nature soulevée dans le cœur de ce rhéteur le force à frémir de cette sentence barbare : cependant, il la prononce ; il ne se rétracte point, lui qui changea si souvent d’opinion. L’Eglise fait valoir ce système terrible pour rendre son baptême plus nécessaire. Les communions réformées détestent aujourd’hui ce système. La plupart des théologiens n’osent plus l’admettre ; cependant ils continuent à reconnaître que nos enfants appartiennent à l’enfer. Cela est si vrai, que le prêtre, en baptisant ces petites créatures, leur demande si elles renoncent au diable ; et le parrain qui répond pour elles, est assez bon pour dire oui.

 

 

          C – Je suis content de tout ce que vous avez dit ; je pense que la nature de l’homme n’est pas tout à fait diabolique. Mais pourquoi dit-on que l’homme est toujours porté au mal ?

 

 

          A – Il est porté à son bien-être, lequel n’est un mal que quand il opprime ses frères (12). Dieu lui a donné l’amour-propre qui lui est utile, la bienveillance, qui est utile à son prochain, la colère, qui est dangereuse, la compassion, qui la désarme, la sympathie avec plusieurs de ses compagnons, l’antipathie envers d’autres. Beaucoup de besoins et beaucoup d’industrie, l’instinct, la raison et les passions, voilà l’homme. Quand vous serez des dieux, essayez de faire un homme sur un meilleur modèle.

 

 

 

1 – Voyez sur les quakers, les premières Lettres anglaises, et dans le Dictionnaire philosophique, l’article QUAKERS. (G.A.)

 

2 – Le cardinal de Retz, coadjuteur. (G.A.)

 

3 – Auteur d’une Apologie de Louis XIV et de son conseil sur la révocation de l’édit de Nantes, avec une dissertation sur la Saint-Barthélemy, 1758. (G.A.)

 

4 – Voltaire lui-même. (G.A.)

 

5 – Voyez les Capitoli de monsignor La Casa, archevêque de Bénévent ; vous verrez comme il enfournait – Voyez, dans le Dictionnaire philosophique, l’article BOUFFON. (G.A.)

 

6 – Voyez, dans le Dictionnaire philosophique, l’article ECROUELLES. (G.A.)

 

7 – Voyez l’Essai sur les mœurs, chapitre CIV. (G.A.)

 

8 – Voyez la Bible expliquée, livre de Tobie. (G.A.)

 

9 – Voyez le Précis du Siècle de Louis XV, chapitre XXV. (G.A.)

 

10 – C’est-à-dire, violents. (G.A.)

 

11 – Ouvrage paru en 1764. (G.A.)

 

12 – Pensée admirablement juste. (G.A.)

 

 

 

 

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