POESIE : Couplets

Publié le par loveVoltaire

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COUPLETS

 

Chantés par Polichinelle, et adressés à M. le comte d’Eu,

qui avait fait venir les marionnettes à Sceaux.

 

 

 

 

 

  1746 

 

 

 

 

Polichinelle, de grand cœur,

Prince, vous remercie :

En me faisant beaucoup d’honneur

Vous faites mon envie ;

Vous possédez tous les talents,

Je n’ai qu’un caractère ;

J’amuse pour quelques moments,

Vous savez toujours plaire.

 

On sait que vous faites mouvoir

De plus belles machines (1) ;

Vous fîtes sentir leur pouvoir

A Bruxelle, à Malines :

Les Anglais se virent traiter

En vrais polichinelles ;

Et vous avez de quoi dompter

Les remparts et les belles.

 

 

 

 

A comme ardeur

 

 

 

1 – Le comte d’Eu était grand-maître de l’artillerie. (G.A.)

 

 

 

 

 

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J
<br /> <br /> Love, je souhaite que les soleils que vous offrez vous feront du bien   et que vous passerez du flagada du a-gla-gla, à la fièvre du samedi soir (et même avant, si possible<br /> ), la seule fièvre qui guérisse . Soignez-vous bien, je vous envoie mes souhaits les plus forts pour votre guérison .<br /> <br /> <br /> Et pour accompagner Polichinelle, quelques amies : http://www.deezer.com/listen-7312198<br /> <br /> <br /> Il n'y a pas de raison que cette ritournelle ne hante que moi  . Eh! oui .<br /> <br /> <br /> <br />
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L
<br /> <br /> Merci, Mister James, de vos voeux de bon rétablissement et de votre lien. Il paraît que le soleil arrive demain. Tant mieux. <br /> <br /> <br /> <br />