FACETIE : Histoire du docteur AKAKIA - Partie 3

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DOCTEUR AKAKIA - 3

 

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HISTOIRE DU DOCTEUR AKAKIA

 

 

ET DU NATIF DE SAINT-MALO.

 

 

 

 

 

  PARTIE 3 

 

 

______

 

 

 

TRAITÉ DE PAIX.

 

 

CONCLU ENTRE M. LE PRESIDENT ET M. LE PROFESSEUR (1),

LE 1er JANVIER 1753 (2).

 

 

 

 

Toute l’Europe ayant été en alarmes dans la dangereuse querelle sur une formule d’algèbre, etc., les deux parties principalement intéressées dans cette guerre, voulant prévenir une effusion d’encre insupportable à la longue à tous les lecteurs, sont enfin convenues d’une paix philosophique en la manière qui suit :

 

Le président s’est transporté au lieu de sa présidence, et a dit devant ses pairs :

 

 

1°/ Ayant eu le temps de reconnaître notre méprise, nous prions M. le professeur d’oublier tout le passé. Nous sommes très fâché d’avoir fait beaucoup de bruit pour peu de chose, et d’avoir déclaré faussaire un grave professeur qui n’a jamais rien supposé que des monades et l’harmonie pré-établie.

 

2°/ Nous avons signé des lettres patentes, scellées de notre grand sceau, par lesquelles nous rendons à la république des lettres la liberté ; et nous déclarons qu’il sera désormais permis d’écrire contre notre sentiment, sans être réputé malhonnête homme.

 

 

3°/ Nous demandons pardon à Dieu d’avoir prétendu qu’il n’y a de preuves de son existence que dans A plus B, divisé par Z, etc. Et si, contre toute apparence, un raisonnement de cette espèce avait séduit quelqu’un de nos lecteurs, nous lui donnons un bon conseil, en l’invitant à s’occuper plus utilement, et à revenir des idées qu’il aurait pu prendre sur cette matière à laquelle nous n’entendons rien. MM. les inquisiteurs, qui ne l’entendent pas plus que nous, voudront bien à cet égard ne pas nous juger à toute rigueur.

 

4°/ Nous permettons dorénavant à tous les malades de payer leurs médecins, et aux médecins de traiter de plusieurs maladies ; attendu que si un malade attaqué de la colique envoyait chercher le médecin de la pierre, il se pourrait faire que celui-ci taillât son homme, au lieu de lui donner un lavement : ainsi les choses resteront comme elles étaient.

 

 

5°/ Nous déclarons que quand nous avons proposé d’établir une ville latine, nous avons bien prévu, à la vérité, qu’il faudrait que les cuisiniers, les blanchisseurs et les balayeurs des rues sussent préalablement le latin, et qu’il se pourrait faire alors que ces personnes voulussent enseigner la grammaire, au lieu de faire la cuisine et de blanchir les chemises, ce qui pourrait causer quelques cabales dangereuses ; mais aussi nous avons considéré que les écoliers et les régents pourraient se passer de chemises comme les anciens Romains, et même de cuisinières ; et c’est ce que nous examinerons plus à loisir quand nous aurons appris le latin à fond.

 

6°/ Si jamais nous traitons de l’accouplement et du fœtus, nous promettons d’étudier auparavant l’anatomie, de ne plus recommander l’ignorance aux médecins, de ne plus envier le sort des colimaçons, et de ne plus leur dire ces douces paroles : « Innocents colimaçons, recevez et rendez mille fois les coups de ces dards dont la nature vous a armés. Ceux qu’elle a réservés pour nous sont des soins et des regards ; » attendu que cette phrase est fort mauvaise, et qu’un soin réservé n’est pas un dard, et que ces expressions ne sont point académiques (3).

 

 

7°/ Nous ne porterons plus envie aux crapauds, et nous n’en parlerons plus en style de bergerie ; vu que Fontenelle, que nous avons cru imiter, n’a point chanté les crapauds dans ses églogues.

 

8°/ Nous laissons à Dieu le soin de créer les hommes comme bon lui semble, sans jamais nous en mêler ; et chacun sera libre de ne pas croire que dans l’utérus l’orteil droit attire l’orteil gauche, ni que la main se mette au but du bras par attraction.

 

 

9°/ Si nous allons aux terres Australes, nous promettons à l’Académie de lui amener quatre géants hauts de douze pieds, et quatre hommes velus avec de longues queues ; nous les ferons disséquer tout vivants, sans prétendre pour cela connaître mieux la nature de l’âme que nous ne la connaissons aujourd’hui ; mais il est toujours bon, pour le progrès des sciences, d’avoir de grands hommes à disséquer.

 

10°/               Si nous allons tout droit par mer au pôle arctique, nous ne forcerons personne à être du voyage, excepté M. de … (4), qui nous a déjà suivi dans des pays à lui inconnus.

 

 

11°/               A L’égard du trou que nous voulions percer jusqu’au noyau de la terre, nous nous désistons formellement de cette entreprise ; car, quoique la vérité soit au fond d’un puits, ce puits serait trop difficile à faire. Les ouvriers de la tour de Babel sont morts. Aucun souverain ne veut se charger de notre trou, parce que l’ouverture serait un peu trop grande, et qu’il faudrait excaver au moins toute l’Allemagne, ce qui porterait un notable préjudice à la balance de l’Europe. Ainsi, nous laisserons la face du monde telle qu’elle est ; nous nous défierons de nous-même toutes les fois que nous voudrons creuser, et nous nous arrêtons constamment à la superficie des choses.

 

12°/               Nous reconnaissons qu’il est un peu plus difficile de prédire l’avenir que de savoir lire Tite-Live ou Thucydide. Nous règlerons notre âme, et nous ne l’exalterons plus ; nous avouons que nous n’avons pas encore le don de prophétie, quoique nous y ayons beaucoup de disposition, si la perspicacité peut servir à prédire ; et quand nous avons dit que c’est la même chose de savoir l’avenir et le passé, nous avons seulement donné à entendre que nous ne savons ni l’un ni l’autre.

 

 

13°/               Nous trouvons toujours bon qu’on vive huit à neuf cents ans, en se bouchant les pores et les conduits de la respiration ; mais nous ne ferons cette expérience sur personne, de peur que le patient ne parvienne tout d’un coup à l’âge de la maturité, qui est la mort.

 

14°/               Nous nous engageons à ne plus écrire tristement sur le bonheur, laissant d’ailleurs à chacun la liberté que nous avons déjà accordée de se tuer, ou d’être chrétien, etc.

 

 

15°/               Nous ne rabaisserons plus tant les Allemands, et nous avouerons que les Copernic, les Kepler, les Leibnitz, les Wolf, les Haller, les Gotsched, sont quelque chose, et que nous avons étudié sous les Bernouilli, et nous étudierons encore ; et qu’enfin M. le professeur Euler (5), qui a bien voulu nous servir de lieutenant, est un très grand géomètre qui a soutenu notre principe par des formules auxquelles nous n’avons rien pu comprendre, mais que ceux qui les entendent nous ont assuré être pleines de génie comme tous les autres ouvrages dudit professeur, notre lieutenant.

 

16°/               Et, comme nous avons à cœur de faire une paix stable et perpétuelle, nous promettons solennellement de faire notre possible pour ne plus violer, soit dans nos raisonnements, soit dans nos actions, les trois grands principes de contradiction, de raison suffisante, et de continuité ; en conséquence de cet engagement, nous ne permettrons plus les contradictions(6) dans nos écrits, et nous tâcherons de mettre de la raison et de la suite dans notre conduite.

 

 

17°/               Pour ce qui est de M. Wolf, notre grand émule, comme ses ouvrages sont volumineux, et que nous ne lisons rien, nous ne saurions prendre la résolution d’en examiner le contenu, pour nous autoriser à pouvoir en décider. Ainsi, nous nous réservons toujours la prérogative que nous croyons due à un président d’académie, de pouvoir statuer librement du mérite des livres de science, sans se donner la peine de les étudier.

 

18°/               Néanmoins, pour donner encore en ceci une marque de notre condescendance, nous exhorterons les jeunes gens qui dépendent de nous, à lire les livres de M. Wolf, avant que de les mépriser ; et pour leur en donner l’exemple, nous entreprendrons nous-même d’étudier la petite logique de cet Allemand, d’autant qu’au régiment où nous servions en France dans notre jeunesse (7), nous n’avons point eu d’occasion d’entendre parler de ces choses-là.

 

 

19°/               Enfin, pour donner la plus grande preuve possible du désir sincère que nous avons de rendre le repos à l’Europe littéraire, nous consentons que notre ennemi capital, M. de Voltaire, soit compris dans le présent traité de paix, nonobstant les puissantes raisons que nous aurions pour l’en excepter. Pourvu donc qu’il s’engage de ne plus nous mettre ni dans sa prose ni dans ses vers, nous promettons de ne plus cabaler contre lui ; de ne plus nous servir de l’exécuteur de la haute justice pour nous venger de ses plaisanteries ; de ne plus le menacer de notre bras plutôt que de notre esprit ; de ne plus prétendre qu’il tremble tant qu’il n’aura pas la fièvre, et enfin d’abandonner La Beaumelle (8) à sa justice (9).

 

 

 

De plus, pour ne laisser aucun sujet de mécontentement à M. Kœnig, et à ceux qui se sont rangés de son parti, notre lieutenant-général, Léonard Euler, déclare par notre bouche ce qui suit :

 

 

                       I.         Qu’il confesse ingénument de n’avoir jamais appris la philosophie, et qu’il se repent sincèrement de s’être laissé persuader par nous qu’on pouvait la savoir sans l’avoir étudiée. Que désormais il se contentera de la gloire d’être, de tous les mathématiciens de l’Europe, celui qui dans un temps donné peut jeter sur le papier le plus long calcul.

 

                     II.         Nonobstant cette supériorité dans l’art de computer, ce grand homme promet encore, par notre bouche, d’étudier plus soigneusement qu’il n’a fait par le passé les principes de cet art, et la connexion de ces principes avec les éléments les plus évidents, afin de ne plus contredire Euclide, comme il reconnaît que malheureusement cela lui est arrivé quelquefois.

 

 

                   III.         Que, quoiqu’il soit le phénix des algébristes, il rougit et rougira toujours d’avoir révolté le sens commun et les notions les plus vulgaires, en concluant de ses formules qu’un corps attiré vers un centre par des forces qui accélèrent continuellement son mouvement, s’arrêtera au plus fort de sa volée (10) ; que quelquefois il retournera immédiatement en arrière, sans aucune cause ; et, ce qui serait encore plus miraculeux que tout cela, que dans un certain cas ce corps s’évanouira subitement sans qu’on puisse dire ce qu’il est devenu (11). Notre lieutenant-général est très fâché d’avoir tiré ces conclusions, dont M. Robins (12) lui a fait connaître le ridicule ; et nous-même nous nous repentons de les avoir admirées autrefois, au grand scandale des géomètres.

 

                  IV.         Qu’afin de radoucir un peu les philosophes allemands, il fera son possible pour ne plus captiver sa raison sous la foi d’une formule erronée. Il demande pardon à genoux à tous les logiciens d’avoir écrit à l’occasion d’un résultat contradictoire de son calcul : Hoc quidem veritati vedetur minus consentaneum. Quidquid vero sit hic calculo potius quam nostro judicio est fidendum (13). « Cela ne paraît pas pouvoir être vrai. Mais quoi qu’il en puisse être, il faut plutôt en croire le calcul que notre propre jugement. »

 

 

                    V.         Que pour rentrer en grâce auprès des géomètres, il tâchera de mettre à l’avenir un peu d’élégance dans l’analyse qu’il leur offrira ; qu’il n’emploiera plus soixante pages de calcul pour arriver à une conclusion qu’on peut établir par un raisonnement de dix lignes ; item, que toutes les fois qu’il retroussera ses bras pour calculer trois jours et trois nuits de suite, il se donnera la patience de raisonner auparavant un quart d’heure sur le choix des principes qu’il conviendra d’employer. Et s’il trouve, comme on l’en assure, qu’il pourra se passer d’une bonne partie de son calcul, il nous gratifiera de ce qu’il a de trop, et dont il sait bien que nous avons besoin.

 

                  VI.         Ce grand homme ne veut point que nous dissimulions qu’il est très affligé d’avoir écrit que, dans le théorème de M. s’Gravesande, la quantité de la force vive différait de la quantité de l’action, et que la vitesse respective n’est point prise pour invariable dans la solution de notre problème : et nous-même enfonçons la tête dans notre lapmude (14), honteux d’avoir approuvé de si insignes sottises. Nous demandons pardon au professeur de La Haye d’avoir voulu les soutenir contre ses démonstrations, dont nous avions mal lu et mal rapporté les termes. M. Euler promet de lire une autre fois plus correctement les écrits qu’il voudra réfuter ; et nous ne manquerons jamais de mettre nos lunettes pour voir par nous-même comment il aura lu, lorsqu’il sera question de souscrire à ses réfutations.

 

 

                VII.         Quant au jeune auteur des pièces singulières (15), qui s’est distingué par un zèle tout à fait particulier pour notre cause, quoiqu’il soit entièrement dégoûté des hautes réputations, nous ne pouvons cependant nous empêcher de faire mention de lui dans le présent traité. Nous voulons qu’il jouisse des avantages de cette paix aussi bien que nous ; et nous promettons qu’il ne la troublera plus par ses excursions dans la métaphysique. Il n’écrira plus sur le cogito, ergo sum. Il ne prendra plus d’opium pour découvrir la nature de l’âme, selon notre méthode : mais il essaiera l’usage de l’ellébore, dont la dose sera réglée par M. Lieberkuhn (16), médecin de notre Académie ; ce qu’il perdra par là en gloire, lui sera restitué en argent comptant de la caisse de cette Académie.

 

 

 

Ce beau et sage discours fini, monsieur le secrétaire perpétuel lut à haute voix la déclaration de monsieur le professeur Kœnig, laquelle contenait en substance :

 

1°/ Qu’ayant travaillé toute sa vie à soumettre son imagination à l’empire de la raison, il se confessait incapable de concevoir des idées aussi brillantes que l’étaient celles que le génie de monsieur le président avait enfantées dans ses lettres, qu’il lui cédait la palme, et qu’il se reconnaîtrait toujours son inférieur à cet égard.

 

2°/ Mais que pour épargner dorénavant à monsieur le président des soupçons désagréables, il serait plus circonspect dans ses citations ; qu’il n’avancerait aucun fait relatif aux sciences, sans pouvoir le prouver par la signature d’un notaire juré et quatre témoins, gens de bonne vie ; que dans les dissertations sur le minimum de l’action, il ne rapporterait plus des fragments de lettres sans en avoir en main les originaux ; qu’aussi, pour faciliter le présent accommodement, il passerait à monsieur le président le principe qu’un écrit dont on ne peut pas produire l’original est un écrit forgé, sans le soupçonner pour cela de manquer de foi aux livres de notre sainte religion.

 

 

3°/ Que pour le bien de la paix, et comme un équivalent de l’honneur d’être de l’Académie de Berlin (auquel ce professeur s’était vu obligé de renoncer), il accepterait une profession de philosophie dans la ville latine que monsieur le président voulait fonder, dès qu’il saurait qu’on y aurait commencé à prêcher, à plaider, et à jouer la comédie en latin (17) ; et qu’en ce cas, il s’appliquerait de toutes ses forces à parler et à écrire dans le style des Epistolœ obscurorum virorum (18), afin d’y établir autant qu’il sera possible une latinité que monsieur le président puisse entendre.

 

4°/ Qu’en attendant, il mettrait une monade ou être simple à côté de chaque géant que monsieur le président apporterait à l’Académie ; qu’on disséquerait les uns et les autres pour voir si c’est dans ceux-ci ou dans celles-là que l’on peut découvrir le plus facilement la nature de l’âme.

 

 

5°/ Qu’au surplus, il consentait de grand cœur que tout le reste fût déclaré comme non avenu ; que les combattants des deux partis, sans exception, avouassent de bonne foi que chacun a été trop loin des deux côtés, et qu’ils auraient dû commencer par où le public finit, c’est-à-dire par rire.

 

 

 

‒ L’Académie ayant entendu avec admiration le présent traité, elle a applaudi à tous ses articles, et en a garanti l’exécution : et afin que les fruits de cette heureuse réunion se fissent sentir par toute l’Europe, elle a voulu qu’il fût stipulé que tous les gens de lettres vivraient désormais en frères, à compter du jour où toutes les femmes qui prétendent à la beauté seraient sans jalousie.

 

          Le tout ayant été ratifié convenablement, on devait chanter un Te Deum, mis en musique par un Français, et exécuté par des Italiens (19), et célébrer une grand’messe où un jésuite officierait, ayant un calviniste pour diacre et un janséniste pour sous-diacre ; et la paix eût été générale dans toute la chrétienté.

 

          ‒ Qui aurait cru qu’un projet de paix si raisonnable n’eût pas été accepté par monsieur le président ? Mais sur le point de signer et d’en remplir tous les articles, sa mélancolie et sa philocratie redoublèrent avec des symptômes violents. Il s’emporta contre son bon médecin Akakia, qui était alors malade lui-même dans la cité de Leipsick en Germanie (20), et il lui écrivit une lettre fulminante, par laquelle il le menaçait de venir le tuer (21).

 

 

 

DOCTEUR AKAKIA - 3

 

 

 

1 – Kœnig. (G.A.)

 

2 – Ce traité de paix parut en brochure, avec cette épigraphe :

 

Ridiculum acri

Fortius ac melius. (G.A.)

 

3 – Comparez la peinture des amours des escargots faite par Voltaire dans les Colimaçons du R.P. l’Escarbotier, tome V, première Lettre. (G.A.)

 

4 – M. Mérian, selon M. Clogenson. Il fut rapporteur dans la querelle entre Kœnig et Maupertuis, quoiqu’il ne dût rien entendre à la question. (G.A.)

 

5 – C’est le célèbre géomètre. (G.A.)

 

6 – Je m’affranchis d’une gêne à laquelle je n’aurais pu me soumettre ; je ne suivrai aucun ordre, je parcourrai les sujets comme ils se présenteront à mon esprit ; je me permettrai peut-être jusques aux contradictions. Lettres de Maupertuis, page I.

 

7 – Maupertuis avait d’abord embrassé la carrière militaire. (G.A.)

 

8 – Voyez notre note sur La Beaumelle dans le Supplément au siècle de Louis XIV.  (G.A.)

 

9 – Ces quatre derniers alinéas furent supprimés dans l’Histoire du docteur Akakia, et les huit suivants ne se trouvent jusqu’en 1825 que dans une édition séparée du Traité de paix. (G.A.)

 

10 – Voyez Eureli Mecanica, tome I, page 268.

 

11 – Ex quo sequitur postquam corpus in centrum pervenerit nusquam amplius reperiri, sed quasi annihalari. Item… Corpus statim ac in centrum pervenerit ibi evanescet, neque ultra centrum progredietur neque revertetur. Voyez, page 276, item, page 315.

 

12 – Remarks on M. Euler treatuse if lituibn by benjamin Robins.

 

13 – Voyez Euleri Mechanica, tome I, page 208.

 

14 – Robe de peau de renne. (G.A.)

 

15 – Mérian. (G.A.)

 

16 – Célèbre anatomiste. (G.A.)

 

17 – Voyez Lettres de Maupertuis, page 187.

 

18 – Voyez la seconde des Lettres à S.A. M. le prince de Brunswick, tome IV. (G.A.)

 

19 – Allusion à la querelle musicale d’alors. (G.A.)

 

20 – Voltaire venait de quitter Berlin. (G.A.)

 

21 – Ces deux alinéas sont encore des soudures. (G.A.)

 

 

 

 

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